L’ancien milieu de terrain du PSG, Monaco et Lens Alex Nyarko vient de raccrocher les crampons à l’âge de 34 ans. Il évoluait jusqu’alors au sein du club suisse d’ Yverdon Sport FC.
Juan Eduardo Eluchans, la trouvaille du Stade Malherbe de Caen
Publié 31 décembre 2007 dans Non classé 1 CommentaireArrivé à Caen cet été en provenance de Independiente, personne en France ne connaissait Juan Eduardo Eluchans (27 ans). Après six mois passés sur les terrains de Ligue 1, le milieu de terrain argentin est aujourd’hui le symbole d’une formation caennaise qui n’en finit plus d’étonner.
Recruté pour environ un million d’euros, le natif de Tandil a éprouvé quelques difficultés à s’adapter à la Ligue 1. À l’image de toute l’équipe, dont la majorité des joueurs débarquent de Ligue 2, ses débuts sont médiocres. Et après 11 journées, le club pointe à la 17ème place.
Pour stopper cette spirale négative, l’entraîneur du Stade Malherbe Franck Dumas décide de changer de stratégie. Terminé le 4-4-2 classique, place désormais au 4-2-3-1 où Eluchans aura la responsabilité d’animer le front de l’attaque sur les ailes.
C’est le déclic. “Elu” se révèle alors aux yeux du public français. Ses débordements dévastateurs et sa qualité de centre font merveille dans cette équipe portée sur l’offensive et le beau jeu. Il devient alors l’un des leaders de cette formation qui termine l’année à la quatrième place du classement.
Ailier gauche de formation, il évolue avec la même aisance sur le flanc droit de l’attaque. Une finesse technique qui lui permet parfois de se muer en buteur pour les besoins de l’équipe. Avec cinq réalisations depuis le début de saison, Eluchans est un porte-bonheur : quand il marque, Caen ne perd pas.
Son influence grandissante, sa “grinta” et son efficacité ont contribué au redressement du SM Caen. Avec le probable départ de Yoan Gouffran au mercato, la force de frappe offensive normande reposera un peu plus sur les épaules de l’Argentin de poche. S’il poursuit sur sa lancée, il sera à coup sûr l’une des meilleures affaires de l’année en L1.
A u bord du gouffre l’an passé à pareille époque, l’OGC Nice a repris des couleurs cette saison. Intraitable à domicile et invaincu depuis neuf journées, le Gym pointe en septième position de la L1 à la trêve, fort d’un recrutement heureux et d’une cohérence collective retrouvée. Une renaissance qui s’inscrit dans la droite lignée du dénouement du précédent exercice qui avait vu les Aiglons sauver leurs plumes parmi l’élite à la faveur d’une deuxième partie de championnat exemplaire.
Treize, un nombre forcément porte-bonheur sur la Côte d’Azur. Treize, c’est le nombre de points que les Niçois ont gagné par rapport à la saison passée. Fin décembre 2006, ils se voyaient en effet contraints de passer les fêtes avec 16 unités au compteur, cloués au 19e rang de la L1 et alors promis à la relégation comme leurs compagnons de galère troyens et sedanais, tombés depuis. Un an plus tard, ce sont les Valenciennois et les Lorientais qui encadrent les Aiglons. Un tableau aux apparences trompeuses puisque tout ce petit monde ne lutte pas pour le maintien mais bel et bien pour l’Europe…
Avec 29 points dans la besace à mi-parcours du Championnat, les Azuréens, non contents de ne pas avoir à surveiller leurs arrières en redoutant la chute, peuvent se targuer de ne pointer qu’à quatre longueurs d’une potentielle qualification pour la Ligue des champions. Une belle revanche, assurément, pour un des clubs les plus fiables de France depuis un an maintenant. Car ce début de saison flatteur n’est en définitive que le prolongement de la bataille héroïque qu’avaient dû mener les hommes de Frédéric Antonetti pour sauver leur peau parmi l’élite l’an dernier, eux qui n’avaient esquivé le couperet de la faucheuse relégation qu’à quatre points près.
Le Ray imprenable depuis près d’un anDepuis janvier 2007 en effet, les Niçois impriment un rythme de solide prétendant à l’Europe, avec 1,5 point pris en moyenne par match pour un bilan de 15 victoires, 17 nuls et 8 défaites – dont une seule concédée au Ray, face à Toulouse, au tout début de ce parcours rédempteur. Cette saison, les Aiglons ont conforté leur assise domestique et figurent, à l’instar des Nancéiens et des Valenciennois, parmi les trois derniers hôtes invaincus à ce jour en championnat. A l’accueil à dix reprises depuis l’ouverture des hostilités, les pensionnaires du Gym se sont fait respecter devant leur public six fois et n’ont daigné partager les points qu’en quatre occasions.
Mieux encore, l’OGCN est devenu l’équipe à battre en L1 depuis la dixième journée et sa défaite au Mans (0-2), le 6 octobre dernier, invincible même sur les terres des sextuples champions de France lyonnais (0-0). Le principal fait d’armes des Niçois cette saison demeure toutefois leur incontestable succès signé au Vélodrome, lors de la 6e levée, aux dépens de Marseillais alors moribonds (0-2). Une victoire qui, comme nous le confiait récemment, Florent Balmont « a été un véritable déclic, elle nous a fait énormément de bien. » D’autant qu’elle a été fructifiée par la suite.
Un effectif expérimenté
Déjà auteur d’un recrutement inspiré lors du dernier mercato hivernal – avec les arrivées de vieux briscards tels que Laslandes ou Letizi – le club du président Cohen peut s’enorgueillir d’avoir fait un sans-faute cet été encore alors que les départs compilés de Bellion, Vahirua, Fanni et Varrault ne semblaient rien annoncer de bon sur la Côte d’Azur. En agrémentant son effectif d’éléments rompus aux rudiments de la L1 et revanchards – à l’image de Hellebuyck, Hognon, Bamogo ou encore Jeunechamp – Frédéric Antonetti a pu façonner à l’expérience une équipe dont les jeunes talents – Lloris, Koné et Ederson en tête – sont autant de bonnes raisons de clamer son ambition.
Crédité de huit buts déjà cette saison – tous inscrits à domicile – soit son meilleur rendement jusqu’alors en L1, Koné s’avère être le parfait pendant de Lloris aux antipodes du terrain, le portier des Espoirs, blessé une partie de ce début de saison, trônant avec aplomb sur la deuxième défense du pays (seulement 14 buts encaissés). Entre ces deux chantres de la jeunesse triomphante niçoise – particulièrement remarquable au sein du plus vieil effectif type du championnat (près de 28 ans en moyenne) – Ederson n’est pas en reste. Sa complémentarité avec les Balmont, Hellebuyck et Echouafni fait des merveilles, si bien que l’on oublie aisément que la perle brésilienne n’a que 21 ans.
Reste à espérer que le Gym ne pâtira pas trop à la reprise des absences conjuguées d’Abardonado, transféré à Nuremberg, de Kanté et d’Apam, deux titulaires issus de son « back four » en partance pour la CAN dans les prochains jours. Afin de pallier ces manques en perspective et alors qu’Allaedine Yahia, dernier transfuge en date du côté de Nice, prendra également part à la compétition avec la Tunisie, le président Cohen a d’ores et déjà confessé que Nice s’apprêtait à accueillir un nouveau défenseur d’expérience. Ça tombe bien, la Côte d’Azur a soigné son attractivité ces douze derniers mois.
Les millions du Shakhtar auront-ils raison de Nancy pour Kim ?
Publié 29 décembre 2007 dans Non classé 0 CommentairesL’attaquant de l’AS Nancy Lorraine Kim (27 ans), suscite l’intérêt de nombreux clubs et pas seulement en France où le président de l’Olympique Lyonnais Jean Michel Aulas est sous le charme.
En effet, après Schalke 04, le Shakhtar Donetsk connu pour avoir réalisé de gros coups sur le marché des transferts depuis quelques temps aurait fait, de l’acquisition du Brésilien, la priorité de ses futures emplettes.
Pour arriver à ses fins, le club ukrainien compte avoir recours aux grands moyens, et serait prêt à verser 3 M€ net par an de salaire à l’intéressé. Après le départ lucratif de Pape Diakhaté au Dynamo Kiev l’été dernier, on ignore comment le club lorrain va gérer cet épineux dossier dans les jours ou les mois à venir.
Si le Brésilien a quant à lui reprécisé ces jours derniers qu’il resterait à l’ASNL, cette offre a de quoi le faire réfléchir.
Par ailleurs, dans le sens inverse, le défenseur central roumain du Shakhtar Razvan Dinca Rat (26 ans) pourrait quitter le club suite aux offres de Séville et Valence.
Alors que tout semblait rentrer dans l’ordre, le feuilleton Cissé continue.
L’attaquant marseillais qui avait déclaré samedi dernier qu’il serait à la reprise de l’entraînement olympien, avait également déclaré qu’il allait réfléchir à son avenir durant les fêtes de noël.
D’après des informations émanant du quotidien régional Le Parisien, l’ancien auxerrois serait à nouveau suivi par plusieurs clubs de Premier League. Des clubs anglais (Manchester City, Portsmouth, Bolton) qui seraient même prêt à mettre 10 M€ sur la table pour récupérer l’international français.
Bluff d’agents ou véritables pistes ? Pour le moment nul ne peut dire ou évoluera Cissé dans les prochaines semaines. Pour autant, une telle somme po ur un joueur qui ne donne pas satisfaction peut-elle se refuser ???
Invité de l’émission Téléfoot sur TF1, Cissé n’a pas émis le moindre doute quant à son envie de rester à l’OM. Voilà qui met fin à certaines polémiques d’autant que les dirigeants marseillais souhaitent le conserver…
L’épisode avec Lens et Papin
L’avenir de Djibril Cissé est le point d’interrogation du prochain marché d’hiver du côte de l’OM. Dans l’émission Téléfoot, c’est d’abord Jean-Pierre Papin, un temps intéressé par Cissé, qui a avoué au micro de TF1 : « Je lui ai demandé si la situation persistait, est-ce que cela l’intéresserait de venir nous renforcer à Lens… et sa réponse, qui n’a jamais été révélée a été très claire et a mis un terme à quoi que ce soit puisqu’il m’a répondu qu’il avait signé à l’OM et qu’il comptait y réussir. »
Le vœu de JPP de renforcer son secteur offensif avec le probable futur départ d’Aruna Dindane ne sera donc certainement pas assouvi, ce qui met fin à une polémique qui a donc pris de l’ampleur pour rien…
Djibril confirme son envie de rester
Sur les pelouses de la Commanderie, en compagnie de Thierry Gilardi, Djibril a ensuite été questionné. Et là encore, les réponses ont été sans équivoque : « Je ne suis pas quelqu’un qui tourne ma veste », a ainsi lâché dans un premier temps celui qui a signé un contrat de 5 ans avec l’OM. Titillé par le présentateur de la première chaîne qui lui demandait si un retour en Angleterre serait possible, Cissé a concédé : « Ce serait possible mais cela n’est pas d’actualité. » Et même l’arrivée probable d’un nouvel attaquant n’effraye pas plus que ça Djibril : « Il faut de toute façon un attaquant supplémentaire puisque Mamadou part à la CAN… et puis il faut aussi pouvoir pallier une blessure… »
Une opération encore repoussée
Des blessures, Djibril en a connu… il garde d’ailleurs toujours certaines séquelles de sa dernière. On sait que Cissé doit se refaire opérer mais le joueur souhaite repousser cette intervention. Le professeur Saillant expliquait ainsi : « L’os s’est formé au tour du clou parce qu’il y a une cicatrisation tout autour qui fait que plus on attend, plus c’est difficile… généralement, on retire le matériel au bout d’un an à dix-huit mois après la pause de ce matériel […] Cela peut le gêner au niveau du tendon rotulien, dans les mouvements de flexion, d’extension et d’explosivité du genou. »
Cissé gardera pourtant les plaques de fer qu’il a dans sa jambe droite pendant 24 mois, ce qui ne le dérange pas plus que ça : « Pour l’instant, je ne suis pas gêné donc ça me ferait c…. de perdre un mois de compétition. Je préfère le faire pendant mes vacances. »
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Transferts officiels:
Kaboré: de Libourne st Seurin vers Marseille
Arrache: de Marseille vers Toulouse (pret)
Adriano: de L’Inter de milan vers Sao Paolo (pret)
Krupoviesa: de Boca Junior vers Marseille
Dhorasoo: retraite
Gragnic: de Marseille vers Troyes (pret)
Parea: de Bordeaux vers Grémio